Une femme saute à l'élastique au-dessus d'une rivière infestée de crocodiles, avant que le câble ne casse

Alors qu'Erin Langworthy se trouvait au sommet d'une plate-forme de 110 mètres de haut, sur le point de sauter à l'élastique pour la première fois de sa vie, elle ne pouvait s'empêcher de penser : "Pourquoi est-ce que je suis sur le point de sauter d'un pont en parfait état ?" Mais elle a écarté cette idée, persuadée que son cerveau essayait simplement de la dissuader de vivre la meilleure expérience de sa vie. Pourtant, elle aurait dû écouter son instinct. En sautant du pont cet après-midi-là, elle s'est en réalité jetée dans un véritable combat pour sa vie.

Direction Zambie

Fraîchement diplômée de l'université, Erin Langworthy, originaire d'Australie, avait besoin de vacances. Elle était prête à intégrer le monde du travail, mais un dernier voyage en Zambie, en Afrique, lui semblait idéal pour fêter son diplôme.

Groupe de touristes

En 2014, Erin voyageait seule, mais elle s'est jointe à un groupe touristique qui organisait des événements pour les participants. En consultant l'itinéraire du groupe, elle fut ravie de voir que le saut à l'élastique était au programme. Cette activité était exactement le genre d'activité qu'elle recherchait!

Les chutes de Victoria

En examinant les détails, Erin a vu que le saut se ferait au-dessus du fleuve Zambèze — qui sépare la Zambie du Zimbabwe — près des chutes Victoria, depuis un pont de 111 mètres au-dessus d'une rivière agitée et impitoyable. Et, bien entendu, elle était un peu nerveuse.

Faire confiance aux mesures de sécurité

Mais elle savait que le saut à l'élastique était pratiqué dans le monde entier, et que des centaines de sauts étaient effectués chaque jour sur le seul fleuve Zambèze. Les probabilités que quelque chose de grave se produise étaient extrêmement faibles. Pourtant, la veille de son saut, elle ne parvenait pas à s'ôter cette idée de la tête.